Pourquoi je reçois des mails de gens qui se plaignent que Ho’oponopono ne fonctionne pas ?

Ho’oponopono fonctionne toujours!
Ma réponse commence toujours ainsi : Ho’oponopono ça fonctionne pour tout le monde mais pas au niveau où vous le voudriez.
Cette méthode ne cherche pas à solutionner des problèmes, elle sert à nettoyer les mémoires, les vôtres, celles qui sont stockées dans votre subconscient et que vous ne connaissez pas.
Comment savez-vous que vous avez des mémoires ? Ce sont les autres qui vous les révèlent bien sûr et les circonstances de la vie que vous n’avez pas conscience d’avoir choisies.
Vous étiez tranquille avant de recevoir ce coup de fil? Maintenant, vous êtes tout retourné. Une mémoire vient d’être activée en vous.
Il faut que vous compreniez que c’est votre attachement à ce problème qui est le problème.
Un exemple classique de travail sur soi avec Ho’oponopono
Je prends un exemple ordinaire: j’ai une fille qui ne veut plus me parler. Faire ho’oponopono ne va pas faire en sorte que votre fille vous parle mais:
vous allez commencer à nettoyer le fait que vous ayez créé une fille qui ne veut pas vous parler.
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Bien que Ho’oponopono ne pose pas ces questions directement, cette situation soulève une mémoire en lien avec la relation mère/fille que vous portez.
Si vous êtes prêt(e) à nettoyer en vous les racines profondes de cette souffrance, alors, oui, cela peut se terminer par le fait que votre fille vous parle à nouveau.
Vous comprenez? Ho’oponopono ne vise pas un résultat mais la remise à zéro des compteurs.
Ho’oponopono est une méthode ancestrale hawaïenne utilisée autrefois pour les réconciliations familiales.
Aujourd’hui, Ho’oponoponopo a gagné ses lettres d’or dans le monde grâce à la transmission du docteur Hew Len.
C’est une technique très simple où il suffit de répéter 4 petites phrases et qui opère des miracles dans la vie des humains, à quelques conditions!
Alors pourquoi tous ces mails de personnes qui me disent que Ho’oponopono, ça ne fonctionne pas ?
Parce que Ho’oponopono ne signifie pas « baguette magique » mais redresser, rendre droit ce qui ne l’est pas et le milieu familial est l’endroit où chacun en a le plus besoin !
Ho’oponopono est avant tout une technique spirituelle de nettoyage très efficace. Qu’avons nous à nettoyer ? Toutes les blessures. D’où viennent-elles ? Du cœur.
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C’est le lien direct que j’ai fait avec la proposition de Jonathan du blog méditer pour être heureux d’écrire un article pour la Croisée des Blogs sur le thème :
Comment faites-vous pour accepter les autres tels qu’ils sont ? En d’autres termes, comment rester fidèle à votre cœur au milieu des tempêtes affectives ?
Parle t-on ici d’amour inconditionnel?
Je me suis d’abord demandé si j’étais éligible pour traiter la question et si au moins, dans ma vie, j’étais capable d’accepter les autres tels qu’ils sont.
Je me suis répondu… et j’ai rassemblé plusieurs catégories par ordre de difficulté!
Aimer les clients/patients
Les personnes les plus faciles à accepter sont mes clients. Je vois en eux leur devenir.
Je devine leur lumière même sous des kilos d’aspects névrotiques. Je sais le temps que cela m’a pris pour me dégager et j’ai confiance dans le fait qu’ils vont y arriver aussi.
Je sais que l’espace que j’ai ouvert en moi est une surface sur laquelle ils peuvent s’appuyer pour traverser.
Où qu’ils soient bloqués dans la rivière, je peux leur tenir la main pour achever la traversée si c’est leur désir.
Ce qui me met en confiance et renforce ma foi dans le travail sur soi, c’est justement que ces personnes sont engagées.
Il est dit qu’un thérapeute n’a pas d’obligation de résultat mais de présence, dans le sens entier du terme, pas juste être là physiquement mais psychiquement.
Je dirais que le thérapeute a un accord tacite (au niveau plus élevé du Soi) avec le client et qu’il est capable de l’aimer d’un amour inconditionnel. Ce qui, pour moi revient à dire l’aimer tel qu’il est.
Lorsque un client remue quelque chose en moi qui dure de l’ordre de la peur, de la colère ou de la tristesse, je sais immédiatement que c’est une mémoire personnelle qui vient d’être activée.
Je dis « qui dure » car, dans la présence empathique avec un client, il n’est pas rare d’avoir des émotions fugaces qui sont souvent des aperçus de ce que le client est en train de traverser.
Faire la différence entre ce qui est à moi et ce qui est à l’autre est tout l’art du thérapeute et de la relation d’aide.
C’est aussi pour cela qu’il est nécessaire de l’apprendre. Projeter sur l’autre est si rapide et si inconscient qu’on ne peut pas imaginer savoir faire la différence sans des années de pratique.
Aimer les individus que je ne connais pas
Ce qui est plus difficile, c’est accepter les autres en général. D’abord, parce qu’ils ne font pas tous un travail sur soi, ce qui signifie qu’ils ne savent pas ce qu’est une projection.
Ils sont persuadés d’agir de leur propre chef alors qu’ils sont en train de se débattre avec des émotions sans le savoir.
Voyons un exemple.
J’ai été longtemps enseignante et j’ai surtout eu affaire à des parents d’élèves. En général, les enfants, eux, vont bien!
Un jour où nous projetions une grève, j’ai prévenu les parents afin qu’ils sachent que je ne serais pas là pour leur enfant pendant la journée de grève.
Lorsque je suis revenue le surlendemain, un parent avait fait un esclandre parce que je l’avais obligé à prendre une journée de congé précieuse dans un boulot où de toute évidence il craignait d’être licencié.
Vous voyez ce que je veux dire en parlant de projection. Il avait pris ma précaution pour un ordre et se sentait en danger d’être rejeté et en insécurité financière.
Aucun rapport bien sur avec la réalité des faits. A la question que la directrice lui avait posé à propos d’en discuter avec moi, il avait répondu : « on ne peut pas parler avec elle » en parlant de moi.
Comment accepter un parent d’élève tel qu’il est?
J’ai donc été obligée de travailler ma partie : il y a encore quelqu’un en moi (une enfant sans doute) qui prend les suggestions des autres pour des ordres et qui n’arrive pas à trouver de liberté d’expression par rapport à cela.
J’ai effectivement trouvé en moi une peur de l’autorité et une difficulté à me sentir libre de dire non si quelqu’un veut quelque chose de moi et pour lequel je ne suis pas d’accord.
Mais cela ne suffit pas. Il reste le positionnement de l’autre. Il m’a fallu accepter qu’il n’était pas capable de faire autrement que de me prendre pour un parent castrateur, doublé d’un parent qui le met en profonde insécurité (la perte potentielle de son travail).
J’ai mis en place le deuxième accord toltèque : « N’en faites jamais une affaire personnelle ».
Pour résumer, il me prenait pour son père et pour sa mère en même temps ! J’ai du m’occuper de trois points cruciaux afin d’être certaine de rester dans le présent et ne pas succomber moi aussi à une projection.
1°) Vu les circonstances, cela signifie que je n’ai pas à me justifier face à ce parent car de toutes évidence il me prend pour quelqu’un d’autre. Je n’ai pas besoin d’être coupable ou responsable de son interprétation.
2°) Inutile aussi d’être en colère contre lui, il ne peut pas faire autrement avec l’histoire qu’il a et la conscience qu’il n’a pas encore développée.
Je dois m’occuper seule de la frustration que cela génère en moi de ne pas pouvoir communiquer librement avec cet homme.
J’ai mis en place le premier accord toltèque : « Que votre parole soit impeccable ». Je n’ai pas cherché à régler mes comptes avec lui.
3°)Il me reste une dernière chose à faire au présent : réamorcer la discussion avec lui en tenant compte de sa difficulté de communication et sans lui sortir une ardoise.
Voilà comment je fais pour accepter les autres tels qu’ils sont.
Au passage, il ne sert à rien de décider de ne pas être en colère dans un contre-sens bouddhiste total: si vous y êtes, vous y êtes.
Quelque chose en vous a été touché, vous allez devoir vous en occuper. N’imaginez jamais que votre colère est justifiée.
Cela ne signifie pas non plus qu’il faille tout laisser faire, nous sommes bien d’accord. Apprendre à dire sans être agi par la colère est le fruit d’un véritable travail sur soi.
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Accepter tels qu’il sont ceux dont je suis proche.
Curieusement, on pourrait penser qu’il est facile d’accepter les amis tels qu’ils sont. Je pars du principe que si c’est mon ami, j’ai un a priori positif sur lui. (ce qui ne signifie aucunement que je n’ai pas de projection)
En langage thérapeutique, mes amis sont souvent des projections positives de parents ou de frères et sœurs même si la relation est bien au-delà des projections.
Lorsque je me sens trahie ou maltraitée par un(e) ami(e), le travail est incommensurablement plus difficile.
D’abord parce que c’est un ami et que j’ai une idée et une croyance à propos de comment il devrait se comporter en tant qu’ami.
Au moins, avec un inconnu, je n’ai pas l’obstacle de mes certitudes et de mes croyances.
Prenons un exemple.
Deux de vos ami(e)s sont allé(e)s au spectacle sans vous en parler. Tant que vous ne le savez pas, tout va bien.
Dès que vous l’apprenez, immédiatement, vous vous sentez rejeté, trahi, exclu, banni, abandonné, que sais-je?
Vous vous repassez le film et vous trouvez tous les ingrédients de la conspiration contre vous.
Nos amis toltèques pourraient d’ailleurs vous être aussi d’un grand secours sur ce coup là ! (n’en faites pas une affaire personnelle;-), plus facile à dire qu’à faire !)
Tout d’abord, vous devez vous demander ce que vous sentez vraiment. Je peux vous assurer qu’au fond de vous, c’est plus souffrant que de la colère.
Que faire pour accepter vos amis tels qu’ils sont?
1°) Accepter de sentir que vous êtes blessé, bien que personne n’ait tiré de flèche.
2°) Reconnaître que le sentiment de trahison, d’abandon ou de rejet que vous sentez si fort est en total décalage avec la réalité.
Deux de vos ami(e)s ont passé une bonne soirée sans vous. Vous êtes donc dans un état régressif. L’espace temps de votre enfance vient de se substituer au moment présent.
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3°) Ne jugez pas cet enfant en vous qui se comporte comme un petit alors qu’il devrait se sentir fort et s’en moquer.
Cet enfant en vous a mal, soyez pour une fois un bon parent pour lui et choyez-le. Soyez compatissant envers sa souffrance.
4°) Reconnaissez que cette émotion appartient à votre passé et que vous avez souvent vécu cette scène sauf que les protagonistes étaient différents.
Le film qui repasse et qu’on ne voit pas
Peut être était-ce votre petit frère ou votre petite sœur au sein de votre mère et vous êtes censé être grand et sans besoin d’affection.
C’était peut-être au contraire un grand frère ou une grande sœur capable d’intéresser vos parents plus que vous par ses études, sa bonne conduite ou sa violence.
Autre scénario, ce sont vos deux parents qui vous déposent chez votre grand-mère pour les vacances.
Allez un petit dernier, ce sont vos frères et sœurs ligués contre vous. Nous sommes toujours d’accord, rien à voir avec vos deux ami(e)s n’est ce pas ?
Il est difficile de voir la réalité dans ces moments-là, vous êtes comme en transe, totalement possédés par l’émotion et incapables d’aimer vos amis tels qu’ils sont.
L’intérêt du travail sur soi, c’est qu’il n’y a pas de refoulement ni d’ardoise justement. Vous ne passez pas l’éponge sur un comportement que vous pensez déviant.
Vous vous réappropriez votre histoire, vos souffrances, vos interprétations et vous laissez vos amis tranquille. Vous les aimez vraiment, voilà tout.
Aimer sa famille telle qu’elle est
Contrairement à ce que vous croyez, c’est l’endroit le plus difficile pour exercer l’amour inconditionnel et aimer les autres tels qu’ils sont.
Non seulement vous les connaissez mais vous êtes proches depuis toujours et vous avez une histoire commune avec.
Les relations familiales sont aussi bourrées de projections qui s’entremêlent joyeusement avec de véritables sentiments, le tout dans un gros bouillon émotionnel.
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Prenons deux exemples :
Vos parents (pourtant âgés) se déplacent plusieurs fois par an pour aller voir les enfants de votre frère, votre sœur…sans passer vous voir.
Vous avez le choix de ne rien sentir, de vous raconter que les autres ont plus besoin d’attention que vous et que tout cela est normal.
Vous pouvez aussi accepter d’avoir un sentiment d’injustice qui monte. Le risque est de tomber dans l’exigence immédiate de vouloir être reconnu.
Si vous ne tombez pas dans le piège, vous allez sentir des effets identiques à l’exemple précédent : rejet abandon, négligence et toute la tristesse qui en découle.
Vu votre état du moment, ma main à couper que c’est comme cela depuis toujours. Vos parents vous ont élevé sans faire de différences et pourtant, vous en avez senties à votre égard.
Du point de vue des accords toltèques, vos parents n’ont rien contre vous, ils ont juste une autre priorité pour le moment.
Si vous viviez dans le présent, vous pourriez le comprendre mais, de nouveau vous avez régressé jusqu’à l’âge de vos 6/7 ans et la situation vous parait intolérable.
Si vous voulez que votre parole soit impeccable, inutile de vous en prendre à vos parents.
Votre souffrance du moment date de l’époque où vos parents avaient 20 ans… ce ne sont plus les mêmes aujourd’hui !
Ils étaient jeunes, inexpérimentés, n’avaient pas voulu une famille si vite… pourrez-vous les accepter tels qu’ils sont ?
Allez-vous leur servir un couplet parental et leur faire la leçon en leur expliquant comment ils devraient se comporter si ils étaient de bons parents ?
Vous aimeriez qu’ils soient différents ? Alors ce n’est pas de l’amour !
J’aurais pu choisir un exemple inverse : c’est Noël, c’est encore à vous de vous occuper de tout.
Vous allez encore être utilisé(e) alors que vous avez des frères et sœurs qui justifient le fait d’habiter loin pour ne pas lever le petit doigt.
Allez-vous les aimer tels qu’ils sont sans vous être vous aussi remis en question ?
Un dernier exemple ou vous avez votre dose ?
Allez, votre fils a invité ses grands-parents (vos parents) pour son anniversaire sans vous le dire.
Cela s’est fait dans la spontanéité du moment, rien n’a été réfléchi, tout paraissait fluide. Vous l’apprenez le lendemain…
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Première question qui se pose avant de sentir vraiment ce que cela vous fait : à qui allez vous en vouloir ? Votre enfant ou vos parents ? Je vois que vous avez la réponse !
Si vous êtes un peu honnête, vous allez d’abord être sonné avant de pouvoir riposter.
Puis, vous allez appeler si vous l’osez…oui, vos parents bien sur, ne serait-ce pas eux les responsables ?
Pouvez-vous encore les aimer tels qu’ils sont ? Pas avant d’avoir fait un sérieux travail de débroussaillage.
On reprend depuis de début :
1°) Acceptez de vous sentir blessé .
2°) reconnaître que l’émotion est très disproportionnée et que vous seriez prêt(e) à claquer des portes définitivement.
Sachez que vous êtes dans un état régressif, inutile de faire la leçon à qui que ce soit.
3°) Sentez réellement ce que cela vous fait que vos enfants (qui sont grands) et vos parents n’aient pas besoin de vous.
4°) Reconnaissez que cette émotion appartient au passé lorsque vous êtes arrivés dans une famille où personne n’avait peut-être besoin d’un enfant .
5°) Faites votre travail intérieur d’accueillir cet enfant blessé en vous, abandonnez vos reproches et laissez votre famille faire ce qu’elle veut. C’est cela aimer les autres tels qu’ils sont.
Vous voyez le lien évident maintenant entre travail sur soi et paix dans les relations?
Alors, si vous faites Ho’oponopono sur une relation difficile sans imaginer tout ce que cela va impliquer pour vous, il est normal que ça ne fonctionne pas à tous les coups !A propos, pourquoi c’est moi qui reçois tous ces mails?
Sans doute parce que je suis en train d’écrire un ebook sur ce qu’on ne dit pas de Ho’oponopono!
Trois autres articles sur Ho’oponopono:
La technique Ho’oponopono met la psychologie à rude épreuve…
La méthode Ho’oponopono, pourquoi ça marche?
La fatigue du webmaster, connais pas!
Vous connaissez Ho’oponopono? En quoi cela fonctionne pour vous? Prêt à essayer? laissez un commentaire!

Bonjour Hannah,
On dirait que l’Asie a modifié ton « style épistolaire », mais peut-être me trompe-je ?
En tout cas, super article, dans lequel j’ai trouvé plein d’éléments qui me concernent ; j’attends avec impatience « mon » chapitre spécial sur les mémoires dans ton futur bouquin…
Amitiés et à tout bientôt,
Jean-Louis
PS : je sais qu’il faut écrire « trompé-je » mais je préfère comme ça, surtout pour la prononciation 🙂
Bonjour jean-Louis,
D’autres ont l’air d’accord avec toi alors avec la chaleur, il a du
se passer quelque chose! avec mon style!
Il me semble que tu dois commencer à avoir un petit aperçu
de ce qu’est une mémoire!
Bonjour,
Encore une fois c’est un article qui touche beaucoup. Ho’hoponopono fonctionne pour moi,mais il est vrai que lorsque je l’ai découvert, j’avais l’impression de ne dire que ces quatre phrases toute la journée. J’ai un frère qui me harcelait au téléphone et du jour où j’ai travaillé avec ho’hoponopono, il m’a laissé tranquille. Lorsque je pense à lui parfois je me redis ces quatre phrases et tout s’estompe.
Merci pour ce message
Bonjour Nicole,
Ho’oponopono fonctionne très bien sur les relations
difficiles à condition d’en avoir vraiment envie .
Dans ton cas, de toutes évidence tu étais prête
à faire le deuil de la relation.
Lorsque nous sommes encore attachés et dans la dépendance,
Ho’oponopono nous fait travailler la dépendance!
Bonjour Hannah,
Tout d’abord j’ai été ravis de te rencontrer à Booster Gala lors des enregistrements. Tu es celle qui m’a le plus touchée et j’ai adoré l’expérience que tu nous a fait vivre avec la Loi d’Attraction. Quand bien même nous n’avons pas eu la possibilité ni le temps de plus se parler que ça. J’aurai aimé pourtant.
En attendant, cet article me touche personnellement, pratiquant moi-même et ce chaque jour Ho’oponopono. Tout ce qui est écrit est si juste et résonne parfaitement. Et merciii à toi de dire au grand jour la vérité vraie du pourquoi cela ne fonctionne pas sur tout le monde quand bien même cela fonctionne sur tout le monde et pas comment chacun l’entend, effectivement. Donc, avec cet article, au moins les pendules sont à l’heure.
Merciii et quel bonheur de te lire à chaque fois.
Au plaisir de revoir un de ces jours.
Amitié … Alexandra
Bonjour Alexandra,
Il y aura peut-être d’autres occasions que Booster-Gala.
C’était une journée de travail plus qu’une journée de
détente relationnelle.
Merci de ton retour Alexandra.
coucou hanna, votre petite estheticienne sollies pontoise a lu avec attention votre article et jeconfirme que cela fonctionne et eclaircie la vie de tout les jours… j en profite pour vous annoncer que je quitte midi parfums pour prendre un poste de responsable d institut a mayol, toulon. si vous etes encore un voyage profitez bien de ces energies differentes.. bien cordialement, anne
Bonjour Anne,
C’est une bonne nouvelle cela. Responsable d’institut ça veut
dire que tu vas commander d’autres esthéticienne ou que tu
continueras à exercer toi aussi?
Cela m’intéresse car je suis deux fois par mois à Toulon pour
des consultations!
J’ai fait le plein de massage et d’esthétique chez les thaïlandaises
mais ça va vite me manquer en France.
ouah Hannah!
A présent, grâce à toi, je comprends mieux le fonctionnement de nos relations! Et les outils qui nous aident à les améliorer…Merci, cet article me parle vraiment et si je connaissais de l’existence de ces mémoires, maintenant c’est très clair! J’attends ton ebook avec impatience , profite bien de la fin de ton séjour car ici à Nice il fait encore pluvieux et pas très chaud!
Bonjour Nicole,
C’est demain le retour, passer du maillot de bain à la
fourrure polaire va être délicat.
Les mémoires, nous en avons plusieurs par jour mais
comme nous sommes habitués à mijoter dans un jus émotionnel,
nous ne nous en apercevons pas toujours!
Bonjour Hannah !
Merci pour ces rappels ! et les extraits d’accord toltèques.
N’en faites pas une affaire personnelle – bingo.
Je m’en veux des phrases que je lance par ci par là et dont je m’aperçois qu’elles sont prises de travers alors que mon intention n’était pas de heurter !
Là aussi Ho’oponopono calme le jeu, apaise, nettoye mes projections et laisse la réaction à la personne qui se sent visée …
Dernièrement nous nous demandions si l’ordre des 4 phrases prononcées avait une importance ?
Je me réjouie de pouvoir bientôt lire ton ebook à ce sujet.
@ bientôt
Sinje
Bonjour Sinje,
L’ordre n’a aucune importance, si ce n’est
mettre je suis désolée avant pardonne-moi.
on pourrait même dire autre chose du moment
qu’il y a cette énergie de « repentance » à ne
pas prendre au sens judéo-chrétien mais à se
sentir vraiment désolé d’avoir été si longtemps
dans l’ignorance.
Pour ce qui est des accords toltèques, ils sont d’une grande
puissance, on n’imagine pas à quel point nous passons
à côté tous les jours!
Coucou Hannah,
Merci beaucoup pour cet excellent article qui va permettre à ceux qui voudront en faire la démarche d’aller faire en eux tout ce travail intérieur que tu décris à la perfection.
« Le monde est mon miroir ».
Si je veux que le monde extérieur change, je vais devoir commencer par changer mon regard sur le monde extérieur, ce qui revient à changer mon regard sur mon monde intérieur.
Vis une merveilleuse journée.
Maxime
Bonjour Maxime,
Tu as raison, c’est moi qui parle d’un travail intérieur.
Ho’oponopono , lui, ne parle pas de monde
extérieur ou intérieur. Il y a la Vie et il y a les
humains, idéalement à l’état zéro, totalement vivants
ou aux prises avec une mémoire.
Parfois le monde simplifié de Ho’oponopono a besoin de
quelques explications pour notre mental non hawaien.
Bonjour Hannah,
Merci de cette précision, nécessaire pour moi en tout cas !
j’ai lu livre de Luc Bodin et Maria-Élisa Hurtado-Graciet et je ne me rappelle pas cette notion :
« Ho’oponopono , lui, ne parle pas de monde
extérieur ou intérieur. Il y a la Vie et il y a les
humains, idéalement à l’état zéro, totalement vivants
ou aux prises avec une mémoire. »
Merci donc à toi de cette précision qui me permet d’en prendre conscience.
Vis une merveilleuse journée.
Maxime
Bonjour Maxime, c’est ce qui est déroutant avec Ho’oponopono.
J’avais d’ailleurs écrit mon premier article la-dessus. Il
n’y a pas de psychologie avec Ho’oponopono, on ne cherche pas
à comprendre, à mettre de la conscience, à tirer les ficelles,
à faire des liens.
j’avais pris une grande claque car c’était tout mon univers
thérapeutique qui s’écroulait. J’ai donc arrêté de me prendre
pour une thérapeute puisque, du point de vue de l’état zéro,
la psychologie n’existe pas!
Bonjour Hannah,
J’ai pu constater moi aussi autour de moi avec beaucoup de gens qui parlent de Ho’oponopono qu’il y a un véritable problème.
A mon avis c’est toujours la meme histoire de ce que j’appelle la spiritualité » petits oiseaux » qui fleurit de partout sur internet en autre.Une tonne de gens se racontent des histoires en lisant des livres ou en allant sur des sites dit spirituels mais tout ceci reste en surface.Les gens restent dans le mental.J’irai meme très loin en disant que pour certain c’est comme une forme de snobisme , ils parlent de spiritualité comme ils iraient jouer au bridge le dimanche après midi.
Si il n’y a pas un vrai travail en profondeur, d’aller fouiller les poubelles de l’enfance ( travail très douloureux),pas de transformation possible.
Pour en revenir à Ho’oponopono et ces 4 phrases « magiques » , j’ai constater que les gens adressent ces mots au ciel , à l’univers, ou je ne sais quoi comme une prière.Il y a un vrai problème d’information sur le fonctionnement de cette technique et sur la véritable destination de ces 4 phrases puissantes.C’est lors d’un stage avec vous que j’ai pu constater la différence profonde qu’il y a de ce qu’est ho’oponopono en réalité de ce qui circule un peu partout
Vite vite explique tout ca au monde Hannah.
Bonjour Arnaud,
Tu as raison, quand on dit je t’aime à sa mémoire
(ou à son ennemi) c’est très puissant et ce ne sont
pas les petits oiseaux sur la branche. Quelqu’un d’autre
nous avait déjà soufflé d’aimer notre ennemi et j’avoue
que c’est pas vendeur. Pourtant, une mémoire est toujours
un manque d’amour.
Oui Hannah,
Si je lis bien entre les lignes en matière d’ennemi je suis totalement d’accord avec toi.
Je lui dis je t’aime à l’intèrieur de moi mais il n’en reste pas moins que en attendant le résultat il y a des actes à poser.
En l’occurence se protéger de son ennemi surtout quand il ne parle pas la meme langue que soi et surtout quand il est malade et a décidé de projeter tout les maux de la terre sur vous comme par exemple la haine des hommes.C’est plus simple de le faire sur un étranger avec qui il n’y a pas d’enjeux plutot que sur son propre compagnon.Bla bla bli bla bla bla!!!
Mon ennemi est malade donc je vais faire Ho’oponopono avec tout mon coeur mais comme je te disais je ne supporte pas la spiritualité « ptis oiseaux » donc les mesures de protections sont nécessaires tout de meme.
En resumé: »la récréation est terminé, je ne joue plus , j’ai changé d’école, je passe en grande section »
En plus de Ho’oponopono je vais prier pour que l’ennemi entende le message mais j’avoue que j’ai plus que des doutes car il y a pathologie.
Bonjour Arnaud,
Tant qu’un « ennemi » t’active c’est que tu es au coeur
d’une mémoire. Faire Ho’oponopono c’est pour revenir à
zéro, avec ton Esprit en paix. ne t’occupe pas de l’ennemi,
il n’est vraiment là que pour te rappeler qu’il y a encore
un combat plus ancien à l’intérieur de toi.
C’est là qu’intervient Ho’oponopono:
aime ton ennemi car il vient de te rappeler que tu as une
ancienne mémoire qui t’est personnelle et qui est encore
active, sinon comment le saurais-tu? Ta famille d’origine
est loin, tu n’as plus moyen de savoir que tu es encore aux
prises avec!
Bonjour Hannah,
Oui je vais faire ca , tu as tout à fait raison.Tu as toujours la réponse qui m’appaise.
Pour ce qui est d’aimer mon ennemi, oui je vais l’aimer comme j’ai toujours fais discretement avec tout mon coeur à l’intérieur de moi .
Ce que je voulais dire c’est que désormais je ne serais plus dans le faux espoir en 2013 de croire que c’est bon on efface tout car l’ennemi a enfin compris, non ca j’ai décidé que c’était fini car il y a pathologie pour moi ( comme une histoire de coeur récente ou j’ai bien morflé )
Je vais l’aimer à l’intérieur de moi pour etre en paix et quelqu’un d’autre que moi profitera du fruit mais pour moi nos routes se séparent en 2013.
Les choses parfois ne sont pas possibles en 2013,ca n’empeche pas d’aimer secretement.Je ne veux plus servir de butching ball.Je veux bien assumer mes conneries quand j’en fais mais quand je fais le boulot je ne veux pas continuer à subir l’autre.
Et tu as raison je remercie mon ennemi de 2013 car il me montre ou j’en suis avec ma famille d’origine (comme cette histoire de coeur récente).
Bonne continuation à Bali
Merci Hannah
Bise
Arnaud
Arnaud, il y a des personnes avec qui ça ne le fera jamais.
La seule différence c’est que, lorsque tu es en paix, tu gardes
le coeur ouvert même si ça ne le fait pas. L’autre ne te déstabilise
plus. Tu ne veux plus rien mais tu restes aimant. Exercice pas
facile de ne rien vouloir ni rien rejeter.
Oui Hannah c’est ca , la boucle est bouclée.
Mes choix de vie font que je suis obligé de cotoyer cette personne avec qui ca le fera jamais donc je vais devoir pratiquer cet exercice pas facile du tout.
A suivre
Merci hannah
Tout se passe en nous rentrer dans notre Intérieur lui crier notre Amour … Lui demander Pardon et le remercier et je t’aime pour conclure…
Tout doit être AMOUR
Chère Nadine,
J’en reste sans voix!!!
Je suis désolé, s’il te plait pardonne moi, je te remercie , je t’aime. hi hi !!!
Bonjour Hannah,
Oui je pratique Ho’oponopono mais le travail sur soi est toujours long et il faudrait que j’y consacre plus de temps. Je ne le fais que le soir en me couchant et je sais que j’ai encore beaucoup à faire avant d’obtenir le résultat que je souhaite. Il me semble que c’est d’autant plus difficile lorsque nous sommes éloigné des personnes avec qui l’on est en désaccord.
Je poursuis malgré tout ma quête de bonté pour les autres. Je pense que c’est rtrès important de s’aimer mais aussi d’aimer les autres.
Je te souhaite la meilleure journée.
Danièle
Bonjour Danièle,
Il n’y a pas de distance avec Ho’oponopono.
C’est une technique qui s’adresse à l’Esprit et
à ce niveau là, il n’y a ni temps ni distance qui compte.
Travailler une mémoire par rapport à quelqu’un
nettoie ton implication dans le processus. Il n’y
a pas besoin de proximité avec la personne en
question.
Bonjour Hannah,
J’ai lu ton article comme on boit du p’tit lait…expliquer le travail sur soi qui s’opère n’est pas chose facile, je trouve que tu le fais ici avec brio.
Les accords toltèques sans la reconnaissance de ce qui est touché…ça n’marche pas chez moi!
Ho’oponopono, c’était également loin d’être suffisant dans mes conflits familiaux, c’est comme si cela touchait une partie de moi, mais pas la totalité de la partie qui souffre du conflit.
Le chemin à faire sur l’enfant intérieur est celui qui m’a souvent libérée le plus profondément.
Que cet enfant soit en paix, affectivement nourri, rassuré…et le quotidien redevient plus « Ho’oponoponotoltèqueamoursansconditionjoiedevivre »!!!! 🙂 Ou une sorte de potion magique comme ça hein?
Dans ton mail, tu dis que l’Asie c’est bien pour y vivre et y travailler aussi…que veux-tu dire? Aurais-tu envie de migrer?
Belle journée à toi
Cathy
Bonjour Cathy,
J’avoue qu’un mi-temps en Asie me tenterait. Je sens tout
mon corps se détendre dans la chaleur et 90% d’humidité.
J’arrive à travailler et à vivre en même temps alors qu’en
France, j’arrive surtout à travailler!
Je te rejoins quand c’est un gros morceau, j’utilise des
techniques thérapeutiques.Ho’oponopono est la technique idéale
pour récupérer à 100% sa responsabilité dans ce qui arrive
ainsi que le pouvoir de nettoyer les mémoires.
Des potions magiques pour arrêter de souffrir rapidement je n’en
connais pas puisque c’est souvent nous qui somme accrochés
sans le savoir à la souffrance. Par contre, je connais des cocktails
explosifs pour apprendre à lâcher ce qu’on tient!
Bonjour Hannah!
Quel plaisir d’arriver au boulot le matin accueilli par des messages d’encouragement et de soutien. Je me reconnais dans tout ce que tu écris mais je ne trouve toujours pas MA solution bien que je passe des heures à lire, réfléchir et consulter les uns et les autres. Je suis marié depuis 25 ans, 3 enfants, bcp d’activités, de travail, de soucis et de problèmes alors notre couple bat de l’aile (on fait passer les autres avant nous). Alors mon épouse se réfugie dans le chant et le tai chi alors que moi c’est le fitness en MJC avec uniquement des femmes (pas de concurrence et je suis le chouchou!).Bien sur ma femme est jalouse, mais au début on dansait à 2 exclusivement puis des problèmes physiques puis psychologiques l’ont éloigné des pistes de danse tandis que moi j’y trouvais mon compte alors CONFLITS. Ma femme aimerait que j’arrete le fitness mais elle ne voudrait pas pour autant reprendre un cours de danse avec moi maintenant qu’elle va bien (tango par exemple). Que faire?
Bonjour jean-Claude,
Du point de vue de Ho’oponopono, il n’y a pas à réfléchir:
si tu es pris dans une mémoire entre les hommes et les femmes
comme ça a l’air d’être le cas, tu nettoies cette mémoire avec
les 4 phrases.
Si tu veux une approche plus psychologique, alors vous avez
une réajustement à faire sans doute parce que votre projet de couple
c’était la famille et qu’après 25 ans de mariage, ce projet est quasi
abouti.
Quel est le projet suivant?
il faut être deux aussi dans un projet de couple, est-ce que ta femme
est volontaire pour cela?
Bonjour Hannah, je crois qu’avant de pratiquer Ho’oponopono, il faut avoir lu quelques bouquins pour s’imprégner de tout ce que cela contient. Ensuite, pratiquer sans rien attendre et laisser les choses se faire avec le temps.
zenie
Bonjour Zénie,
Oui, c’est ce qui est le plus difficile avec
ho’oponopono, nettoyer sans attendre de
résultat! C’est à ce moment là bien sur qu’il
y en a!
je pense que HO OPOPOOPONO n’est pas une technique de finalite
Pour en acquérir vraiment toute sa grandeur il est nécessaire de terminer impérativement par les petits bonhommes allumettes de JACQUES MARTEL
Nous pensons amour mais important de l’écrire car le subconcient enregistre à 90 % ce qui est écrit
le cerveau ne fait pas la difference entre ce qui est reel imaginaire virtuel ou symbolique
je deviens ce en quoi je porte mon attention
la solution à ce questionnement se trouve dans le site http://www.atma.ca et voir VIDEO des petits bonhommes allumettes
A tester pour le ludique et ressentez pour votre sensibilité l’impact sur vous
Bonjour Danielle,
Je connais Jacques Martel pour son dictionnaire mais je ne connaissais
ses petits bonhommes allumettes. Merci pour ce Partage.
pour ce qui est de Ho’oponopono, j’imagine que cela dépend des humains et
de la façon dont ils fonctionnent ainsi que leurs affinités avec telle ou telle
méthode.
Avec Ho’oponopono, Hew len a réussi en plusieurs années à guérir
des criminels d’asile psychiatraique. Pour d’autres, ce sera
avec d’autres moyens.
Bjr Daniele , penser ou pratiquer , là est toute l’expérience . De nature curieuse et surtout critique 🙂 je suis allée consulter votre lien . Très sympathique monsieur Martel , mais un peu léger pour moi en matière dee travail sur soi et surtout sur celui des attachements. Ce n’est que mon opinion . Couper sur une feuille de papier » des attachements » quand on ne sait pas ce à quoi on est identifié et sans pouvoir nommer l’attachement , sans conscience de savoir où il se situe ne permet pas toujours de s’en défaire . C’eût été plus juste de représenter son bonhomme avec un gros boulet au pied avec écrit dessus « ma demande d’amour » , et là un coup de ciseau malheureusement ne suffira pas . C’est pas sur l’autre qu’est l’attachement , il est à sa propre histoire , à son manque , à sa peur …. et tant qu’on n’a pas approché ça , reconnu et compris et surtout vécu l’attachement ….. mais là je laisserai la parole à d’autres , suis pas thérapeute .
Il y a plusieurs niveaux de travail sur soi.
Tout est bon à prendre si on obtient les résultats qu’on cherche.
C’est toujours notre intention qui nous procure nos résultats,
pas l’efficacité de la méthode.
Le paradoxe, c’est que nous sommes attachés à nos souffrances
non pas parce que nous aimons souffrir mais parce que nous avons
besoin de tenir quelque chose. Ce qui est le plus angoissant,
c’est le vide.
Par exemple, lorsqu’on n’a pas eu de mère, on s’attache au manque
d’elle parce que c’est la seule façon que nous ayons d’avoir un
lien avec elle. Nous avons si peu d’elle que nous ne voulons pas
l’oublier. C’est notre façon de l’aimer et nous y tenons.
Si nous cherchons à nous débarrasser de notre souffrance à cette
mère, aucun exercice ne peut le faire car, attaché à la souffrance
du manque, il y a le lien d’amour que j’ai avec elle et cela, c’est
précieux, je ne veux pas qu’on me le retire.
Voilà pourquoi la thérapie est efficace, elle nous fait prendre
conscience de notre véritable souffrance pour que nous puissions accepter
de ne pas nous y accrocher. C’est un travail délicat tout en finesse,
une chirurgie esthétique quasiment et il est bon de se faire
accompagner à ce stade.
Ho’oponopono ne prend en compte aucune de ces considérations car
c’est une voie spirituelle pas une voie psychologique.
Ho’oponopono passe uniquement par le coeur, pas par la conscience
donc c’est malgré tout difficilement accessible.
Qui peut se targuer d’être dans son coeur toute la journée?
C’était un peu l’objectif de cet article, montrer que ce n’est
pas si simple d’utiliser Ho’oponopono.
Oui , merci Hannah de rappeler si justement avec cette belle métaphore de la chirurgie esthétique que le travail reste délicat . Mais toute la thérapie consiste quand même n’est ce pas à l’épuisement de la demande d’amour pour être restitué à soi même .Ceci dit , et ce n’est que mon opinion , toutes les clés ne sont pas bonnes à prendre si on ne sait pas quelle porte elles ouvrent et si on ne sait pas ce qu’on va en faire dans notre vie de tous les jours . Avoir eu une mère ou avoir été orphelin il reste quand même tout l’attachement à l’idéalisation qu’on a eu , et qui ne se coupe pas avec une paire de ciseau sur une feuille de papier . N’est -il pas nécessaire de conscientiser que l’attachement est ce qui nous lie à la mère quand on était enfant et que lorsqu’on a souffert de cette relation à la mère , on veut une réparation avec l’autre ?
Mais restons avec Ho’oponopono pour restaurer le lien du coeur , pratique que j’exerce pour expérimenter parce que j’ai toute confiance en ce que tu témoignes de ce petit chant du coeur 🙂
Bonjour Mahrthine,
Je te suis 100%, si on ne sait pas ce qu’on tient,
on ne peut pas le lâcher.
Savoir ce qu’on tient n’est pas si facile à reconnaître.
On tient en général des concepts et des représentations
douloureuses mais on ne sait pas toujours pourquoi on
les tient.
Avoir vécu des traumas dans l’enfance et tenir des
souffrances sont deux choses différentes. C’est notre
point de vue et c’est la façon dont on traite l’évènement
qui est douloureux.
C’est pour cela que la thérapie ne suffit pas, il faut
aussi travailler, comme tu l’as souligné, l’identification
à la souffrance car elle donne un sens à notre petit je.
Bravo Hannah, cet article est clair et représentatif des émotions propres à chacun. Et il tombe à pic car justement hier soir j’ai ressenti une colère que facilement j’ai destiné contre l’autre. Il m’a fallu un moment pour me recentrer et me re-approprier cette émotion liée à un souvenir d’enfance. J’aime Ho’oponopono car ces phrases résonnent comme des mantras de coeur et j’ai pris l’habitude de les prononcer, notamment en les mélangeant à l’EFT. Les associer aux Accords Toltèques renforcent encore la compréhension. C’est formidable de découvrir tous les outils à notre disposition pour se développer et sortir de nos malaises émotionnels.
Je vais encore plus appliquer comme tu nous y invites. Merci
Dominique
Bonjour Dominique,
Toutes les techniques efficaces se rejoignent.
C’est du bon travail ça de pouvoir dans le bon timing
s’apercevoir que c’est une émotion d’enfant qui vient
de se substituer à notre présent.
Bonjour Hannah
j’apprécie beaucoup votre travail et la façon que vous avez d’amener les choses. Bien que n’ayant pas un parcours me prédestinant à cela, il semble que je sois en train de devenir Thérapeute (cela me va, par ailleurs) et du coup, bien que je vous lise depuis un petit moment maintenant, vos écrits prennent plus de sens encore, notamment sur le lien avec le patient, que je commence à appréhender.
Merci, donc, et surtout, profitez bien de votre lieu de villégiature, ici le temps est morose (je dois dire que je vous envie un peu 🙂 !)
Jeanne
Bonjour Jeanne,
Ce voyage était un peu un voyage de travail car nous préparons
une formation on line mais j’avoue que c’est dans de bonnes
conditions. C’est souvent le métier qui vient nous chercher
même si on ne se savait pas prédestiné pour cela.
Quelles techniques utilisez-vous?
Bonjour Hannah,
Merci infiniment pour ton message qui arrive à point nommé…
La dernière vécue date d’il y a 2 semaines par des mémoires qui me sont remontées à la surface et que aujourd’hui je peux identifier et nettoyer avec la méthode O’ponopono, cela fait évident mal et les larmes jaillissent pour un profond nettoyage.
C’est un partage que je voulais te faire et remercier du travail qu tu fais.
L’autre n’est-il pas un miroir qui fait réfléchir et grandir …
Avec mes meilleurs messages
Marie-Anne
Bonjour Marie-Anne,
Le mois de mars a été un gros mois de nettoyage.
C’est exactement ce que fait Ho’oponopono, il
soulève les mémoires afin qu’elles soient tansmutées.
En attendant, on se met enfin à le sentir.
Heureusement que les autres sont là pour nous
montrer où sont nos mémoires!
merci de tracer le chemin Hannah !
je suis très touchée.
C’est une belle expression, tracer le chemin,
j’ai une machette pour les morceaux de jungle.
J’ignore ce que sont ces quatre phrases, je le regrette beaucoup, j’ai du manquait quelque chose, mais ce dont je suis certaine, c’est que j’attends avec impatience votre livre.
Bien cordialement.
Eva
Bonjour Eva,
Merci de me faire remarquer que tout le monde ne les connait pas.
Tu n’as qu’à cliquer sur les liens bleus que j’ai mis je crois
sur » 4 phrases », tu auras accès à un autre article où
j’explique les 4 phrases.
Je vais rajouter un mien vers mes articles précédents au bas
de l’article pour faciliter la tâche.
Bonjour ,merci pour vos partages fabuleux , malheureusement je ne connais pas les 4 phrases et ne les trouvent nulle part ;-( pourriez-vous avoir la gentillesse de me renseigner svp , merci .Namasté nikky52
Bonjournikky,
Tu trouveras au bas de l’article, des liens vers
trois autres articles que j’ai écrits sur Ho’oponopono
et dans lesquels j’y mets les 4 phrases.
cet article était déjà très long pour ne pas que je
le surcharge.
Bonjour Hannah,
Ton article arrive au bon moment : depuis que je pratique Ho’oponopono je ressens une sérénité et une solidité profonde m’envahir… il constitue une belle synthèse de ce que je vis et teste dans mes relations avec mes proches actuellement grâce à Ho’oponopono. Bel outil pour aller à la rencontre de soi même au travers des autres et de la loi universelle !
J’ai eu la chance d’écouter Pierre RABHI dernièrement qui nous parlait d’énergie d’amour envers la terre qui nous nourrit et que nous continuons de saccager et bien grâce à la méthode hawaienne je redécouvre l’importance de l’amour inconditionnel si difficile à vivre et si essentiel pour atteindre la liberté dont nous parlent les toltèques et le bien être que nous cherchons tous !
Enfin comme Jean Louis je trouve aussi que ton style rédactionnel a changé plus fluide, plus doux, plus clair…
A bientôt avec impatience
Christine
Bonjour Christine,
C’est la chaleur et l’humidité qui doivent influer
sur mon humeur!
L’amour inconditionnel est bien sûr l’objectif à
partir du moment où nous sortons de nos défenses.
Coucou,
Je travaille , enfin « je m’accompagne », avec le molosse, pour l’instant rien de visible , mais …un horizon s’ouvre! A suivre , et merci.
S’accompagner c’est déjà pas mal!
Un ebook sur ce qu’on ne dit pas de Ho’oponopono!
Ça m’intéresse vraiment.
Merci beaucoup pour toute l’information transmise.
Bonjour Carole,
Pas seulement, aussi sur les finesses de ce que
représente ho’oponopono ainsi que les erreurs à
éviter.
Soyeux témoignage caca d’oie Lumière Hannah . Tout toi 🙂 juste envie d’être contaminée .
Ho’oponopono ou « plus rien ne sera plus comme avant » avec cette conscience du coeur .
Les évènements actuels de grosses trahisons en France au sein du gouvernement réveillent en moi une mémoire , que rien que d’écrire le mot « sein » fait monter en moi l’émotion .
Week end à la Castille 🙂 je tacherai de mettre une vidéo sur fb 🙂
Un petit protocole Ho’oponopono s’impose!
Bonjour Katia,
Moi aussi je vois pas mal de textes réducteurs par rapport à
l’immensité de Ho’oponopono.
C’est une véritable voie, il est aussi normal que chacun
l’arpente à l’endroit où il en est de sa vie, de sa conscience
et de son coeur.
C’est une voie du coeur qui a fait ses preuves en matière de
guérisons.
Bonjour,Hann je viens de recevoire ton mail. Pour moi ho,oponopono sa marche, mais c’est pas facile il y a des conteste qui sont pas facile à comprendre .Je suis de Tahiti .j’ai beaucoup de blessure anciennes que je pourrais pas t’expliquer.ma vie sentimentale ,avec ma famille c’est pas facile à gérer tout sa .c’est vrai ho’ oponopono me dit de nettoyer.tout doucement je le fait la méthode.j’ai lu le livre Le secret il m’a beaucoup plus .je croit a la méthode ho oponopono .je veux encore plus de technique de ta part.Voila mon problème, mon copin m’a quitté pour une autre,cela fait 4 mois , il me dit que c’est fini entre nous deux ,mais il m’appelle toujours.comment faire .je l’aime toujours .j’attends une réponse venant de ta part.merci la polynésienne.Rahera
Bonjour Rahera,
Tu décris très bien ce qu’est une relation de dépendance.
Malheureusement, les protagonistes de ton histoire jouent
un jeu bien connu, celui de la victime et du bourreau.
les deux sont dépendants, toi et ton ami sauf que lui ne le sait pas.
Quand il te dit qu’il t’aime encore, ce n’est pas faux mais
comme on aime un parent, qui reste à la maison pendant que
nous, on fait notre vie ailleurs.
Vous êtes l’un pour l’autre une sécurité sauf que pour toi, savoir
que l’autre est encore en lien avec toi est une sécurité
souffrante.
Tant qu tu es dans cet attachement à cet homme, tu ne peux
pas le faire passer dans ton coeur car il n’est que dans tes
tripes.
Si tu veux utiliser Ho’oponopono tu le fais sur les mémoires de séparation
et d’abandon car c’est cela que tu vis: un abandon.
Cette situation est sans doute accrochée sur d’autres histoires
d’abandon de ton histoire familiale.
En fait c’est la pire chose qu’on puisse faire à quelqu’un:
lui dire « je te quitte mais je t’aime encore ». C’est comme
mourir en mer…on ne retrouve jamais le corps et on ne peut
pas faire son deuil.
Bonjour Hannah,
Superbe article comme toujours, et comme Jean-Louis, à te lire, il me semble que ton voyage en Asie a opéré des changements dans ton style épistolaire … et certainement beaucoup de « choses » se sont passées, pas seulement sur le style… je ressens une grande clarté, un rythme régulier, une force plus libre…
Je me retrouve dans des situations que tu décris … merci pour l’aide que ça m’apporte !
On a beau s’engager sur une route spirituelle avec sérieux et croire que tout est déjà en place … et il y a encore quelque chose de nouveau, beaucoup d’aspects à polir, à nettoyer … Merci Hannah!
A très bientôt, je suis impatient de lire ton pdf ! 😉
Philippe
Bonjour Philippe,
A vous écouter, je vais finir par croire que j’ai
changé de style! ça doit être la chaleur. Et puis, j’ai
trouvé le mois de mars assez dégommant en matière de
vieilles mémoires à nettoyer.
Ce ne sera pas un PDF mais un kindle sur ho’oponopono!
Salut Hannah,
Merci pour cette belle pépite avec ce super article. J’avais découvert Ho’oponopono sur ce blog grâce à tes articles et ça marche quand on l’applique. Comme pour le reste, le plus dur reste la régularité pour acquérir le réflexe.
C’est marrant ces e-mails que tu reçois, tu les as attiré à toi d’une façon ou d’une autre. Il y a pas mal de nettoyage à faire chez nous tous ! D’ailleurs je me demande si cela n’est pas sans fin.
J’ai vu ton dernier passage au Booster-gala et j’en profite pour te remercier pour tout ce que tu fais, ton blog et la longueur de tes articles me sont très utile pour avancer 😉
A+ et bonne fin de voyage en Thailande.
Bonjour Jonathan,
Tu vois, j’ai choisi pour ta croisée des blogs un
thème qui me tient vraiment à coeur!
Tu sais, même Hew len continue à nettoyer…c’est ce qui est
merveilleux avec Ho’oponopono c’est qu’on lâche l’idée qu’un
jour on sera tranquille, heureux et sans mémoire à nettoyer.
Si on veut être heureux c’est maintenant et quand une mémoire
se pointe, on la nettoie.
je reçois des tas d’emails de personnes qui veulent une réponse
personnalisée, ce que je fais souvent quand j’ai le temps. Là, je me
suis dit, ça va servir à tout le monde.
J’avais annoncé mon ebook lors de ma première émission avec
Pascal Colombani et je suis en retard sur le timing. J’ai pris ça comme
un petit coupe de pied au C.. de l’univers.
Bonjour hannah
j’ai cru comprendre que tu l’avais écrit d’Asie, quel bonheur de te lire.
Pour ma part, j’utilise régulièrement la méthode Ho’oponopono et ça marche, je confirme. Je pense que c’est un outil qu’il faut utiliser au quotidien, comme de se laver les dents par exemple.Il faut avoir le réflexe.
J’ai fait un grand ménage dans ma maison avec Ho’ponopono et je suis en train de libérer des tas de mémoires qui n’ont plus rien à faire dans ma vie.
Je me sens de mieux en mieux, sereine, légère.
Au plaisir de te lire
A très bientôt à Toulon
Je t’embrasse
Brigitte
Bonjour Brigitte,
En fait, c’est mon troisième article que
j’écris d’Asie. J’avais prévu quelques
moments boulot même en vacances.
je me suis reposée à l’éducation nationale
pendant toutes ces années, maintenant, je bosse;-)
Merci pour votre réponse cela m’a bien aidé 😉 Namasté nikky52
J’ai profité de votre commentaire pour parler
plus largement, tant mieux si ça a répondu à vos
interrogations.
Bonjour Hannah
Je viens de découvrir votre site en effectuant des recherches sur Ho’ oponopono, et j’ai téléchargé votre e’book pour lequel je vous remercie. Si j’ai enfin trouvé le site qui parle de tout ce que j’aime, alors je cesse de me disperser sur le web.
Bravo pour votre générosité et votre compétence dans les sujets que vous traitez.
Marie-Thérèse
Bonjour Marie-Thérèse,
Le web est chronophage, ravie d’avoir
capté votre attention.
Bonjour Hannah,
Superbe article comme à ton habitude. Très long mais arrivé à la fin, on en redemande encore. Tout ce que tu y écris est tellement vrai, mais en même temps complexe par la simplicité de la chose. Rien n’est plus difficile que de vivre dans et par son coeur en faisant abstraction du psychisme. Pour le moment, c’est surtout ma concentration sur le moment présent qui a changé ma vie mais il est urgent que je me penche sérieusement sur le Ho’oponopono pour aimer mon ennemi (peut-être mes ennemis) ou plus profondément pour ne plus avoir d’ennemi. Je suis comme toutes et tous et j’ai assurément beaucoup de mémoires qui n’ont pas leur place dans mon existence.
Profite au mieux de ton séjour thaïlandais et encore merci pour tous tes enseignements.
Bonjour jean-Pascal,
Merci pour ton commentaire.
L’ennemi est à prendre au second degré bien sur.
C’est notre égo qui considère qu’une mémoire
est un ennemi. Donc aimer son ennemi c’est
aimer sa mémoire, c’est tout l’objectif d’Ho’oponopono
ramener du coeur sur des manques d’amour.
Bonjour Hannah,
J’ai commencé à tester depuis plusieurs semaines…
Pour l’instant, je me sens nettement plus en paix avec les sujets que j’ai travaillé avec cete méthode;
Par contre, je n’ai encore rien remarqué de vraiment changé dans la réalité extérieure !
Merci de ces exemples parlants…
Prends soin de toi
Luc Mister no Stress
Bonjour Luc,
C’est un bon début de se sentir en paix.
Si rien ne change et que ça ne t’atteint pas,
alors la réalité extérieure n’a peut être pas besoin de
changer?
Hannah, moi aussi j’ai été initiée à diverses méthodes visant à nettoyer le subconscient et je les utilise en conjonction avec le pouvoir des huiles essentielles. Aussi, lorsque je lis ton article, la première chose qui me viens à l’esprit est : qu’est ce qui se passerait si on associait l’hooponopono et les huiles essentielles?
Moi, j’adore les expérimentations bizarres…Pas toi?
Cécile
Bonjour Cécile,
Je vois que tu as trouvé un bon sujet d’investigation.
Tu viendras nous donner le fruit de tes découvertes
en mariant Ho’oponopono et les huiles essentielles.
Bonjour Fleur,
A très bientôt alors dans les commentaires!
Bonjour Hannah,
D’après ce que j’ai compris de ce que le Dr Hew Len disait dans un séminaire auquel j’ai assisté, c’est que le nettoyage se fait, même si on ne voit pas dans notre propre vie ce qui a été nettoyé.
On fait le nettoyage et c’est tout. Le Dr Hew Len ne sait pas plus que n’importe qui ce que la divinité va nettoyer. C’est ce qu’il disait. Il le répétait d’ailleurs souvent : « I have no clue » (je n’en ai aucune idée).
La Divinité nettoie ce qui a besoin d’être nettoyé et on fait le nettoyage sans avoir d’attente. Il a souvent répété cela aussi : ne pas avoir d’attente…
Amicalement,
Sco!
Bonjour Sco!
Oui, c’est ce qui est difficile ne pas avoir d’attentes.
C’est aussi ce déroute pas mal les psys qui aiment bien
comprendre.
il faut cependant un degré de foi et une confiance dans
le fait que la mémoire se nettoie même si on ne voit pas de
résultat.
L’égo qui fait le travail de nettoyage aimerait savoir à quoi
il dépense son énergie!
J’ai écrit cet article pour ceux qui croient en la baguette
magique.
J’ai beaucoup expérimenté Ho’oponopono et même si
souvent les résultats sont immédiats, pour les grosses
mémoires affectives, comprendre les enjeux relationnels
et psychologiques aide à ne pas avoir d’attente.
Une fois qu’on est engagé dans le processus, il est plus
facile de nettoyer sans guetter les résultats.
Bonjour Hannah,
Merci pour cet article qui nous donne des exemples concrets pour mettre en application la méthode Ho’oponopono.
J’aime cette méthode, elle est simple et elle fait du « bon nettoyage ».
Je pense qu’il faut un temps pour s’habituer au début car on ne voit pas forcément la bonne occasion pour l’utiliser.
Et ensuite, ça se fait tout seul, plus on l’utilise et plus on a envie de l’utiliser.
Merci encore et surtout pour ce passage, quand tu parles de tes clients:
Je devine leur lumière même sous des kilos d’aspects névrotiques. Je sais le temps que cela m’a pris pour me dégager et j’ai confiance dans le fait qu’ils vont y arriver aussi. »
Bonjour Brice
Tu as raison cette technique demande un peu de pratique qvqnt de devenir un reflexe.
Au bout d`un moment, ca se fait tout seul, a la moindre doifficulte rencontree, on arrete de se battre avec et on commence immediatement le nettoyage.
écrit cet article car ayant indiqué Ho’oponopono à tout un tas de clients et amis certains me disent : « ah oui mais ça ne marche pas ton truc … »
Bien sûr je crois l’avoir déjà dit ici mais je vais me répéter: si nous faisons cet exercice pour AVOIR DES RÉSULTATS, cad avoir des attentes par rapport à la méthode nous allons être déçus car ce n’est pas le but de la technique mais si vraiment honnêtement, sans attentes nous faisons l’exercice en voulant RÉELLEMENT nettoyer nos mémoires alors c’est formidable
Le pratiquant depuis presque 2 années, je peux attester des miracles qui se produisent autour de moi dès que je nettoie et nettoie les vieilles mémoires et même si certains doutent de l’efficacité de la méthode ils verront » à la longue » les résultats absolument extraordinaires qui se passeront autour d’eux
D’ailleurs, je suis une inconditionnelle des méthodes simples, celle que tout le monde peut utiliser sans se prendre la tête
Bonjour Sylviane,
Moi aussi j`ai mis du temps a voir apparaitre de reels changements profonds.
Au debut, je voyais surtout des memoires jaillir de partout un peu comme lorsqu`on se lance dans la meditation; tout a coup on mesure a quel point on est totalement possede par son mental et ses pensees.
Petit a petit, le nettoyage devient visible et particulierement dans les relations affectives car c`est un endroit ou on ne peut pas se mentir: ou la relation se modifie ou il ne se passe rien de nouveau!
Bonjour Hannah,
j’ai beaucoup apprécié cet article qui parle de mes deux amis intimes Ho’oponopono et les 4 accords toltèques. Eux ne sont jamais décevants!
Ton titre m’a fait sourire. Je reçois aussi des mails maintenant de ce genre: « je mange végétarien depuis 2 semaines, mais mes marqueurs tumoraux sont toujours aussi mauvais! ». Les gens sont tellement pressés, et pensent qu’une technique qu’ils utilisent à l’emporte-pièce ou une nouvelle habitude va révolutionner leur vie.
Tu as bien raison de préciser (dans les commentaires je crois) que pratiquer Ho’o… ne peut pas fonctionner sans y mettre d’amour.
L’amour inconditionnel surpasse toutes les techniques et thérapies, j’en suis persuadé.
J’ai bcp apprécié cette phrase en particulier: « Ne jugez pas cet enfant en vous qui se comporte comme un petit alors qu’il devrait se sentir fort et s’en moquer. »
Amicalement
Daniel
Bonjour Daniel,
Des amis pas décevants mais exigeants…
L’amour est l’ingrédient essentiel en fait mais on
ne sait pas toujours comment ça s’exprime et on est
souvent rattrapé par la peur que ça ne marche pas
pour nous, comme si on se croyait pas assez aimant.
Ton livre sort bientôt?
tu sais que nos livres vont sortir en même temps?
L’impression a commencé.
Oui Hannah, il faut être « aimant » pour attirer le bonheur dans sa vie 😉
Tu as une bonne intuition, mon livre est sorti de presse hier!
Je ferai une lecture pour le présenter (en vidéo sur mon blog) dès que je reçois le 1er exemplaire (demain en principe).
Quelle belle aventure de sortir un livre, tu ne trouves pas?
Bonjour Danièle,
En matière d’intuition, je n’ai pas à me plaindre.
Oui c’est une belle aventure l’édition de son livre.
C’est surtout une création, en plus d’une écriture.
Pour moi c’est le mois prochain. J’ai participé à son
élaboration et au design, je suis très curieuse du
résultat!
Bonjour Hannah, comme d’habitude je trouve ton sujet parfaitement claire. Peut-être ai-je une autre vision encore plus pointue ! Nous étions au séminaire d’Emaho où il nous a parlé des masques que l’on se met pour ne pas être frappé ou abandonné, ou ne pas être tué… de la corruption de l’enfant, du chemin où nous sommes seul. Tout un programme ! J’ai aussi rencontré Didier et bien pensé à toi…!… Je t’embrasse.
Bonjour laure,
C’est en plein dans le sujet du moment.
Comment se porte Emaho après ses péripéties
de santé en inde?
Nous on plutôt fait une danse de la pluie à
Bali mais l’énergie du travail y était.
Emaho pète le feu, c’est le cas de le dire ! Plus ça va plus il met la sauce !!! On s’en prend plein les mirettes !!!
Mais je pense qu’il n’y a plus de temps à perdre en 2013 et qu’il vieillit quand même, il nous parle de la fin tout le temps. Pour Eric et moi, ça travaille, pas de problème, on est dans les choux tous les deux cette semaine et pourtant on bosse ! Ceci dit, super énergie du feu pour les gens que l’on voit !
Je vous embrasse toi et Alain.
C’est l’énergie de la nouvelle lune et la préparation
d’un grand carré astrologique pour mai qui se prépare:
le 3 ème épisode du carré Uranus(le grand libérateur
de chaînes) et pluton (le grand nettoyeur sans pitié
sur plusieurs générations).
A elles deux ces planètes font un super nettoyage (qui
va même au-delà de cette vie) mais il faut des fusibles
de la conscience et pas mal de sagesse pour supporter!
Bonjour Hannah,
Cette révolution par l’amour (inconditionnel) est un chemin qui m’inspire énormément !
Après avoir lu plusieurs de tes articles sur Ho’oponopono je viens de noter la petite phrase … et je vais traquer mes peurs et tenter d’effacer mes mémoires encombrantes 🙂
A bientôt,
Jean-Yves
Bonjour jean-Yves,
C’est un chemin cerveau droit, celui des artistes.
Tout passe par le coeur, pas la raison.
Hello Hannah, pour répondre à ta question, Emaho se porte à merveille ! toujours aussi puissante cette danse du feu. Il y va de plus en plus fort, je pense qu’il n’y a vraiment plus de temps à perdre maintenant. Ceci dit, malgré cela, on voit encore beaucoup de gens qui ne switchent pas et qui sont bien mal en point après des années de travail ! Ah ! mental quand tu nous tient ! Bises.
Bonjour Laure,
C’est le problème du travail intérieur.
Suivre un maitre ne signifie pas toujours savoir
comment faire le travail sur soi. Le maître en parle
mais savoir précisément où ça se joue dans la vie de
chacun au jour le jour c’est une autre histoire.
une fois qu’on l’a repéré, ce n’est pas terminé, il
faut aussi pouvoir s’en dégager.
bonjour,
J’utilise ho’oponopono depuis un an et demi pourtant, je suis encore obligée de nettoyer toute la journée, dés le matin je ressens de l’anxiété, colère, mes nuits sont agitées. En fait, j’ai l’impression que c’est pire qu’avant, je ressens le besoin de nettoyer constamment car je suis submergée par les émotions négatives. Peut-être que je devrais utiliser la relaxation en plus pour l’anxiété.
Bonjour Tiny,
La peur et l’anxiété sont plutôt à traiter avec TIPI.
Il me semble qu’un petit travail sur les émotions
vous permettrait de dégager les grosses mémoires
afin que vous puissiez identifier, au présent, ce
qui les ravive. Ho’oponopono vient en complément
mais ne peut pas se substituer à certains points
thérapeutiques. Cela vous évitera aussi de vous décourager.
Bonjour Hannah,
Je vous remercie pour votre article, j’apprécie particulièrement les exemples, ceux-ci me permettent de mieux assimiler et de faire le lien avec des situations que j’ai pu vivre.
Sandrine Moreau
Merci Sandrine, tout le plaisir est pour moi.